Ce 24 février marquera les cent ans de la loi qui régit la détention et le trafic de stupéfiants. Retour sur les impacts de cette politique prohibitive à travers les archives d’Alter Échos.
Pour Christophe Marchand, avocat en droit pénal, inutile de pinailler : l’alcool et les autres produits psychotropes devraient être sur le même pied aux yeux de la loi. « Si un usager a un problème avec sa consommation, la première intervention de l’État devrait être de le présenter à un interlocuteur social, médical, psy. Pas à un policier. » (« Justice : la peine perdue ? », AÉ n°465, juillet 2018). (…)
Face aux impacts négatifs de ce modèle punitif sur la santé des consommateurs, qu’est-ce qui empêche le législateur de revoir sa copie ?
Lire la suite / source : Loi de 1921 sur les drogues : un centenaire à ne pas célébrer (Alter Échos, 28/01/2021)